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Le boudoir littéraire
27 octobre 2010

Les cathédrales du vide - Henri Loevenbruck

LesCathedralesDuVide

Quatrième de couverture :

Une mystérieuse cathédrake oerdue au milieu de ka jungle équatorienne.
Le manuscrit d'un célèbre alchimiste du XIVe siècle.
Des meurtres inexplicables...

Sous couvert de protection de l'environnement, une organisation internationale met la main sur plusieurs régions du globe. Leur motif réel ? Un secret enfoui dans le coeur de la terre depuis la nuit des temps.
Alerté par une série de disparition étrange, Ari Mackenzie, pourtant retiré des Renseignements généraux, décide de mener l'enquête. Se pourrait-il qu'il y ait un lien entre les recherches clandestines de cette multinationale et les découvertes de l'alchimiste Nicolas Flamel ?
Malgré lui, le commandant Mackenzie est à nouveau confronté à une affaire singulière. La plus dangereuse de sa carrière, sans doute.. La dernière, peut-être.

Mon avis :

C'est avec plaisir que je me suis replongée dans les aventures d'Ari Mackenzie, que j'avais découvert avec Le rasoir d'Ockham. On l'avait quitté sur une note positive, en le retrouve en arrêt maladie pour cause dépression. Le concept n'a donc rien d'original : un flic mal dans sa peau, alcoolique, à qui l'on propose une enquête. Tout au long du livre, on retrouve les basiques du thriller ésotérique, mais finalement c'est une recette qui marche bien.
Les personnages du roman ne se distinguent pas par une quelconque originalité, ils sont même assez banals au fond, et cela peut déranger voire ennuyer certains lecteurs. Néanmoins, en ce qui me concerne, je ne peux pas nier que j'ai dévoré ce livre avec un plaisir évident.
Peut-être un peu déçue par la fin, notamment j'aurais aimé avoir plus d'informations sur les motivations du "Docteur", la personne que Mackenzie et ses acolytes recherchent.

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Commentaires
I
Ca me tente bien, j'aime assez le côté flic border line un peu à la ramasse (comme l'inspecteur Rebus chez Ian Rankin) et puis un bon polar ésotérique ça ne fait pas de mal de temps en temps. Je le note.
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